Le transpersonnel et
l’Alliance universelle
Ceci est un
extrait du livre de Jacques La
Maya ”La Médecine de L’Habitat”
Dans les chapitres qui précèdent, nous avons déjà fait allusion à la
vie spirituelle, au cheminement libérateur, à la pratique du yoga et
donc, d'un certaine manière, à Dieu.
Nous avons
eu, de la part d’un certain nombre de lecteurs, des échos favorables relatifs à
cette façon de mêler le Divin à des problèmes qui, en apparence, sont purement
techniques (détection et neutralisation des O.N …). Il nous faut maintenant
aller plus loin, aller implanter dans l’axe du travail de recherche et de
prospection pratique la notion de l’extrême utilité/efficacité de la méthode
transpersonnelle. Actuellement, elle se développe en maints domaines de la
culture humaniste et de la recherche de pointe, tant en France qu’à l’étranger.
C’est un signe des temps très révélateur et aussi très encourageant. Le
technicien n’est plus seul face à ses équations et devant ses instruments de
travail. Il sait qu’un Grand Quelqu’un est là, en lui et hors de lui, au cœur
des problèmes et au centre des solutions. Il met la notion vécue de l’Infini
dans la considération du Fini. C’est -de la spiritualité en acte et de l’amour
fraternel en réalisation concrète; c’est notre position personnelle à 100 %.
Dès lors, non seulement il ne faut pas s’en cacher, mais il convient de mettre
en relief ce qu’il en est exactement pour l’édification de ceux qui l’ignorent.
Les géobiologues spiritualistes, croyons-nous, n’y verront aucun inconvénient
et les autres pourront se dire que tout arrive dans le meilleur des mondes de
la chose vibratoire. S’ils sourient de nos propos, c’est leur affaire et non la
nôtre.
Passons au vif du sujet: qu’est-ce que la méthode transpersonnelle ? Nous croyons que la meilleure réponse se trouve condensée dans l’article que nous donnons in extenso; il contient et exprime sa propre justification. Ami lecteur, voici le passage le plus important de cette œuvre de bonne foi; puissiez-vous en appliquer l’essentiel dans la programmation de votre existence et trouver en ces lignes le secret d’une vie désormais comblée parce que saturée de tous les éléments constituant la vraie plénitude, celle qui dépasse infiniment la vision de l’homme naturel (l’homme ignorant qui il est et ce qu’il fait ici, sur cette terre purgatorielle).
Passons au vif du sujet: qu’est-ce que la méthode transpersonnelle ? Nous croyons que la meilleure réponse se trouve condensée dans l’article que nous donnons in extenso; il contient et exprime sa propre justification. Ami lecteur, voici le passage le plus important de cette œuvre de bonne foi; puissiez-vous en appliquer l’essentiel dans la programmation de votre existence et trouver en ces lignes le secret d’une vie désormais comblée parce que saturée de tous les éléments constituant la vraie plénitude, celle qui dépasse infiniment la vision de l’homme naturel (l’homme ignorant qui il est et ce qu’il fait ici, sur cette terre purgatorielle).
a) La méthode transpersonnelle en domo thérapie
La domothérapie : art de soigner et de guérir un habitat malade ou malsain, de la «biosaner», comme dit un grand connaisseur, Walther Kunnen. C’est là l’unique finalité de la géobiologie et des techniques apparentées.
La méthode transpersonnelle : ce qui va au-delà de la personne et qui, en fait, provient de ses propres profondeurs. Oui, c’est très simple en soi, mais il nous faut, bien sûr, être plus explicite et essayer de caractériser au mieux ce nouveau paradigme. Il est bien possible qu’on finisse par le RE-trouver vivant et agissant au cœur de maintes disciplines sans liens directs entre elles et assez éloignées de l’idée du Divin qui en est l’axe essentiel et le cœur opérationnel.
Il est
normal que le concept de «transpersonnelle» ait été élaboré (après avoir été
vécu) par des psychologues. La psychologie des profondeurs peut et doit, en
évoluant jusqu’au bout du fini, se muer en connaissance gnostique du
fin-fond-des-choses. Cela change du tout au tout le sens (et le champ
d’application) des données pratiques de toutes les disciplines qui ont pour
objet d’étudier la nature et le destin de l’homme. Le transpersonnel est à la
fois une méthode et un résultat. Or, le tenant de cette méthode peut faire les
constats suivants :
1°) Il existe un état de conscience (de nature tout à fait supérieure) qui met l’homme en relation avec l’Absolu dans l’être infini duquel toute la manifestation phénoménale est immergée par son origine même (le relatif est fils de l’absolu).
2°) Cet état de conscience a reçu des noms différents suivant les cultures et/ou les époques de l’histoire spirituelle de l’humanité: expérience mystique, satori, nirvana, état de Bouddha, samadhi, Royaume des Cieux, illumination, conscience cosmique, extase transcendantale, réalisation suprême, sens océanique, etc.
3°) Cet
état de conscience n’est pas l’apanage de grands mystiques ou de sages bien
connus, mais on le retrouve ici et maintenant, chez des contemporains (qui en
parlent très peu ou pas du tout). Il n’est pas forcément le résultat de
pratiques ascétiques ou religieuses; des agnostiques et des matérialistes en
sont parfois l’objet … car l’Esprit souffle où il veut !
4°) Ici,
l’expérimentateur se fond avec l’expérience et avec son objet. Ce processus est
un état de quelque chose qui est vécu. Mais vécu par QUI et en contact avec QUI
(ou avec QUOI ?). L’ineffabilité de ce vécu se situe au-delà de tout concept,
de là l’usage forcé de la métaphore, du jeu de mots, de la notation poétique,
de la comparaison dans tout essai de narration descriptive.
5°) On se
trouve là, en dehors de toute la structure que définissent les mots de:
Espace/Temps/Causalité/Nombre. Par l’expérience transpersonnelle, le sujet
RE-découvre le continuum de l’être dans l’existence, c’est-à-dire voit se
dissoudre le phantasme fondamental de la vie « ordinaire» : la séparativité. On
vit alors la non-dualité des choses grâce au dépassement de l’apparente
opposition du personnel et du transpersonnelle, du Moi et du non-Moi, du monde
relatif et du monde absolu. Elle est un dissolvant de toutes les frontières
projetées par l’esprit limité de l’homme dans l’illimité de la Manifestation
universelle.
6°) On ne
peut s’étendre (ici) sur cette approche holistique qui évoque les faits décrits
par des expressions aussi diverses que : lieu de rencontre, maître intérieur,
joie de vivre, vraie liberté, amour de tous les êtres, sagesse pratique,
potentiel thérapeutique (il est énorme !), unité vibrante et douce, etc.
7°)
L’adjectif «transpersonnel» est à employer quand disparaît le caractère séparé
des phénomènes ou l’aspect (apparent) de la personne en tant que masque du
Divin, quand s’effacent les conditionnements du mental, les magouilles du
vital, les structures culturelles contraignantes …
8°) Au
point de vue thérapeutique, le transpersonnel désigne l’ensemble des méthodes
qui rétablissent la santé par la réduction progressive de l’illusion d’un Moi
séparé du Monde et d’un Monde séparé de Dieu.
9°)
Concluons : dans son étape ultime, le vécu transpersonnel est un vécu
holistique DANS et PAR lequel l’homme se RE-DÉ-Couvre comme l’être et où la
dichotomie du personnel/transpersonnel est définitivement dépassée. Le petit JE
empirique devient, par à-coups, puis définitivement, un « JE SUIS» sans
épithète.
10°) Étant
donné ce qui vient d’être énoncé (et que chacun peut et doit vivre), pour
quelle raison notre domaine de la domothérapie échapperait-il à la bonne
utilisation du transpersonnel ? Car tout ce que l’on peut faire pour rendre
sain un habitat (qui est atteint de troubles microvibratoires) constitue une
thérapeutique pratique d’un genre particulier. Or, le transpersonnel est aussi
un« remède» d’usage universel et applicable à toutes les situations
existentielles.
Faudra-t-il
donc cesser de prospecter un habitat? D’en faire la radioscopie? D’installer tel
ou tel dispositif correcteur? Bien sur que non. Mais on peut, suivant notre
nouvelle ligne d’action, continuer à faire tout ce qu’il convient de faire, en
se référant au maître intérieur qui est omniscient,
omniprésent, omniconstituant (tous les OMNI-s de la théodicée vécu !) et qui, dès lors, peut nous mettre sur la voie de
la meilleure solution (car il y en a sans doute plusieurs). C’est tout. Et
c’est beaucoup! C’est aussi très subtil.
Ce qui convient dans tel habitat (et pour telle personne) n’est plus indiqué selon des critères humains. Les options ont une autre origine; ici intervient la notion de karma, de choses à subir.
Il arrive
assez souvent que des lecteurs de mon livre m’écrivent ceci: « J’ai fait
passer un bon géobiologue, puis de bons radiesthésistes. On m’a
fourni tel appareil, on a effectué telle correction, etc. Et, en
fait, il n’y a eu aucun changement notable. L’épreuve de la mauvaise santé
continue comme auparavant pour toute la famille … » C’est là un
cas caractérisé de karma à subir. Il Y a eu erreur humaine car,
finalement, «biosaner» un habitat peut n’être pas simple du tout. Tous les
connaisseurs en sont très conscients …
Avec la
méthode transpersonnelle, l’erreur humaine est éliminée d’office, mais
la «manœuvre» divine, elle, peut se manifester sous la forme d’une apparente
erreur de la part du domothérapeute très capable de transpersonnaliser et
son diagnostic et sa thérapeutique.
Et si le
karma de la personne est négatif, il y aura réponse dans le sens de l’apparent
échec du cas en question; en revanche, si le karma est positif, il y aura
solution harmonieuse et définitive; telle est l’algèbre des valeurs
ontologiques dont nous sommes à la fois auteurs, témoins, bénéficiaires …
ou victimes.
Pratiquement, si l’on pendule sur plan, on le fait dans un état d’esprit impersonnel, on se considère comme un instrument du Divin œuvrant sous sa gouverne. Je pendule, mais il me dirige; de même pour l’utilisation de tel ou tel appareil de correction, tel dispositif de compensation, telle manœuvre à effets bénéfiques, etc. Sur place, il en est de même.
J’utilise pendules et baguettes avec (aussi) des instruments électroniques; je me sers de l’expérience acquise. Mais, en fait, Lui seul travaille: je m’efface.
Pratiquement, si l’on pendule sur plan, on le fait dans un état d’esprit impersonnel, on se considère comme un instrument du Divin œuvrant sous sa gouverne. Je pendule, mais il me dirige; de même pour l’utilisation de tel ou tel appareil de correction, tel dispositif de compensation, telle manœuvre à effets bénéfiques, etc. Sur place, il en est de même.
J’utilise pendules et baguettes avec (aussi) des instruments électroniques; je me sers de l’expérience acquise. Mais, en fait, Lui seul travaille: je m’efface.
De
n’importe quel appareil protecteur, j’ai entendu dire du bien ou du mal suivant
les opinions de tel ou tel connaisseur (et pas n’importe qui !); il n’y a
jamais d’avis vraiment unanime et l’expérience d’un homme qui passe pour
très connaisseur est variable. Les points de vue changent au fil des ans,
sous la pression des nouveautés techniques ou des recherches
fondamentales. Dans ces conditions, le recours à la méthode
transpersonnelle semble indiqué pour qui peut la pratiquer. Et voilà le:
QUI peut utiliser le transpersonnelle?
Réponse:
peut le pratiquer tout être humain qui a habituellement le contact avec le
Centre divin formant le noyau de vie vraie (l’Atman en termes de yoga). On
a alors accès à des zones de la vie universelle qui se trouvent en dehors
du champ de conscience de l’homme naturel. C’est donc un élargissement
parfois (et même souvent) considérable du champ cognitif «normal».
L’expérience
du transpersonnelle est plus ou moins consciente, plus ou moins
spontanée, plus ou moins intense, plus ou moins profonde ; elle peut
comporter des formes majeures ou mineures; mais c’est toujours,
finalement, un état de choses bénéfique. Agrandissant immensément l’aire
de la Réalité
avec laquelle l’homme prend contact, elle constitue une libération du
ghetto mental, du bourbier vital (au sens aurobindien) où chacun est
confiné par les normes mayaviques de notre condition existentielle.
Mon contact
personnel avec le yoga de libération se situe vers 1925. J’ai
souvent expérimenté cette approche de l’Infini de très diverses manières.
De même, je l’ai rencontrée chez autrui (des amis, des élèves, des (quasi)
inconnus … ). Il n’est ni possible, ni désirable, de s’étendre sur cet
aspect personnel des choses, mais on peut en tirer la conclusion qu’en
matière de psychologie vécue, il y a là des faits dont l’intérêt
est considérable (et dépasse de beaucoup le cadre académique restreint
auquel nous sommes habitués), car ils ont une implication profonde et
révolutionnaire pour la compréhension de la psychopathologie. En ce sens,
le transpersonnel offre de nouvelles possibilités thérapeutiques auxquelles
la psychiatrie n’aurait jamais osé rêver.
Le
transpersonnel en domothérapie est simple, la simplicité d’un enfant face à
Dieu. Tout ce que je fais étant accompli, en esprit de yoga, je vois un
seul Absolu Infini et une infinité de créatures toutes finies (si élevées
soient-elles dans l’échelle des êtres). Je suis là et mon consultant y est
aussi. Ce n’est plus Durand en face de Dupont, mais deux entités vivant
au sein du Sans-Bornes. Je demande à la Shakti (nom de l’Énergie cosmique,
de l’intelligence divine, de la réalisatrice de Son plan) de me guider au
mieux pour la prospection du lieu d’habitation-(ou de travail) du
demandeur de tests; je demande de me faire trouver les causes de
perturbations des champs vibratoires dans la mesure où le karma du sujet
le permet. Si je suis des yeux une liste de causes sur un carton, des
chiffres sur un cadran, des valeurs sur une règle, etc., je me sens n’être
qu’un instrument entre Ses mains. Je ne mets pas seulement en jeu une
certaine somme d’expérience humaine, mais je fais jouer mon effacement
personnel dans le cadre d’une alliance universelle.
Dans la recherche des moyens de neutralisation des O.N, je pars des dispositifs censés être les plus efficaces et les moins coûteux. Puis je vois qu’il existe des appareils du commerce ou des méthodes sans appareils (il y en a …). Je me laisse aller aux suggestions inspiratrices de la Mère Divine (au sens aurobindien*); la Shakti est, en quelque sorte, mon ingénieur-conseil.
Des hommes
très sérieux (et très sûrs d’eux) souriront sans doute en lisant ces lignes
et, peut-être, hausseront-ils les épaules. S’ils savaient à quel point,
j’ai envie de rire, moi aussi, mais bien plus intensément encore en
pensant à eux et, mieux encore, en pensant à l’homme en général et au mot
profond de Pascal qui le caractérisa en parlant de «Gloire et rebut de
l’Univers». Le petit homme incertain …
Lorsque, après un délai plus ou moins long, l’habitat est redevenu sain, que les habitants ont fait l’effort nécessaire pour corriger les éléments du contenu de l’habitat qui comportent des sources d’O.N. (Télévision, hi-fi, radio, toute l’électronique, les textiles en fibres synthétiques, etc.), il y a lieu de leur indiquer les meilleurs moyens de retrouver (si possible) une supersanté et une certaine joie de vivre.
Lorsque, après un délai plus ou moins long, l’habitat est redevenu sain, que les habitants ont fait l’effort nécessaire pour corriger les éléments du contenu de l’habitat qui comportent des sources d’O.N. (Télévision, hi-fi, radio, toute l’électronique, les textiles en fibres synthétiques, etc.), il y a lieu de leur indiquer les meilleurs moyens de retrouver (si possible) une supersanté et une certaine joie de vivre.
Là
aussi,
là encore, on a des listes de naturopathie, de médecines douces,
d’exercices
de yoga, de diverses sortes de massages, des adresses de bons
fournisseurs, praticiens, etc. Il faut personnaliser les choix,
individualiser les options, s’ajuster au karma/dharma du sujet (ou de la
famille entière !). Je demande à la Mère Divine (la Shakti) de me faire
trouver
la meilleure solution; toujours en m’effaçant, en voulant n’être qu’un
simple truchement entre le Réel et le Désirable. On m’a dit : « Vous
êtes
le saint Paul des victimes de la pollution vibratoire. » Le grand mot
que
voilà! Je suis mû dans ce sens par le Maître des choses et je n’ai aucun
mérite particulier. Mais, n’est-ce pas: yoga oblige … Domothérapeute
et vibrologue à ma manière, je suis avant tout un enfant de Dieu et tous
les hommes sont mes frères en Lui. Comment ne pas leur vouloir le
maximum
de bien, à l’occasion des O.N. comme en toute autre circonstance?
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*Sri
Aurobindo a écrit des textes dont l’ensemble forme environ 40 volumes. Nous
nous permettons de conseiller au lecteur qui veut « sortir Il de la
condition humaine ordinaire (c’est-à-dire ontologiquement carcérale) de
lire et surtout de vivre quelques pages du Maître de Pondichéry. Le
lecteur qui veut sortir, non d’un lieu pollué, mais du terrible carcan de
la condition humaine naturelle, trouve dans l’lsha commentée par le Maître
l’explication claire du fait que l’Infini appelle le fini à l’existence en
se cachant de lui (de là, la tragi-comédie de la vie … de tout le monde).
La méthode du don de soi au Divin aboutit à la vie comblée à tous les
points de vue, car c’est Dieu lui-même qui pratique le yoga en nous (et à la
fois pour nous et pour LUI) si on lui en laisse la possibilité. En somme,
nous indiquons un concentré de théorie et de pratique pour ceux qui ont
soif d’absolu et qui peuvent être, en même temps, comblés pour les besoins
normaux de la vie courante. Tout cela, c’est beaucoup et c’est la vérité
expérimentée par ceux qui s’y mettent. La méthode transpersonnelle, si
importante en domothérapie d’avant-garde, n’est possible que si
l’on contacte Dieu, ici et maintenant, et ce n’est plus une affaire de
pendule et d’électronique.
Lien:
LE YOGA INTÉGRAL DE SRI AUROBINDO